Dans le Bhakti Sandarbha, Shri Jiva Gosvami parle de la suprême puissance de la bhakti. Il écrit que même un semblant de bhakti, bhaktyabhasa, a le pouvoir d'accorder la libération (anuccheda 153). Pour le démontrer, il cite quelques histoires tirées de différents Puranas.
Dans l’anuccheda 238 du Bhakti Sandarbha, Shri Jiva Gosvami explique l'importance d'être en compagnie de Vaishnavas ainsi que de les servir. En citant les paroles de Shri Krishna adressées à Uddhava, il montre comment le sadhu-sanga capture le cœur de Shri Krishna.
Il est impossible de convertir les entités transcendantes de leur état spirituel vers un état matériel. De plus, le Vaikuntha est illimité et ne connaît pas de frontières. Il est anantam, comme indiqué dans le Shrimad Bhagavata.
Vous avez mentionné que le Bhagavata contenait des histoires parce que les gens contemporains ne comprenaient pas le langage de la science moderne. Est-ce que Vyasadeva aurait pu écrire un Bhagavata pour les scientifiques, sachant que les temps ont beaucoup changé ?
Dans le Sarva-samvadini, Sri Jiva Gosvami cite Vacaspati Mishra de l’école Bhamati. Vacaspati Mishra analyse la perception sensorielle ordinaire et les contradictions entre la perception sensorielle et les écritures. Il fait valoir que les shastras sont également entendus avec les sens.
Mon intention était d'étudier toute la littérature majeure de la Gaudiya Vaisnava avec Maharaja tout en étudiant les Sad-darshanas, tels que le Nyaya et le Vaisesika, d'un autre enseignant. Ma logique était que personne d'autre ne pouvait m’enseigner la littérature de la Gaudiya Vaishnava, alors que d'autres maîtrisaient les Sad-darshanas.
L'article qui suit est un extrait du texte 339 du Bhakti Sandarbha de Shri Jiva Gosмami (l'avant-dernier texte du Bhakti Sandarbha), avec le commentaire de Satyanarayana Dasa Babaji.