Dans le Paramātmā-sandarbha (anuccheda 93), Śrī Jīva Gosvāmī déclare que la graine de la bhakti est impérissable, ce qui semble contredire ce que Kṛṣṇadāsa Kavirāja Gosvāmī écrit dans le Caitanya-caritāmṛta, où il décrit comment la bhakti peut être totalement déracinée par l’āparādha.
Auparavant, existait-il une distinction vestimentaire entre les Gaudiya Vaiṣṇavas et la population ordinaire en Inde, ainsi qu’entre les différents varnas ? Que portaient généralement les gens ? Il ne semble y avoir aucune mention dans les shastras de la tenue vestimentaire d’un grihastha, mais uniquement de celle des sannyāsīs.
Chaque être humain souffre de trois types de souffrances : adhyātmika, adhibhautika et ādhidaivika roga. Le mot « adhyātmika » signifie « ce qui est lié à l’ātmā ».
De nombreux penseurs modernes, notamment les féministes, soutiennent que les shastras hindous sont biaisés contre les femmes, car ils ont été écrits par des hommes. L’un des arguments avancés pour appuyer cette thèse est que les instructions contenues dans ces textes s’adresseraient exclusivement aux hommes.
Les advaita-vadis soulèvent une objection quant à la nécessité d'accepter le pouvoir d'illumination (dharma-bhuta jnana) comme une qualité que possède l'atma : « La conscience (jnana) ne peut pas être le refuge d'une autre conscience (jnana).
« La prakriti est l'entité qui mène des activités matérielles, mais l’atma pense que les actes accomplis par les gunas de la prakriti sont ses propres actes, car il s’identifie entièrement à elle ».
Le sixième verset spécifie que la cause de l'union de l'ātmā avec la prakṛti se trouve dans sa propre inclination et son attachement pour elle (parābhidhyānena).