Selon la science moderne, le monde est constitué de matière, laquelle obéit à certaines lois naturelles. L’une des plus importantes est la relation de cause à effet : une cause doit exister avant que l’effet n’apparaisse.
À quoi sert le karma si une personne ne peut pas se souvenir de ce qu’elle a fait de mal dans une vie passée, mais que son karma fructifie dans cette vie ? La leçon risque de ne pas être retenue.
Je suis curieux de connaître les habitudes alimentaires prescrites par l’Ayurveda. Pourquoi tant de sādhus et de pratiquants avancés de bhajana ne prennent-ils qu’un seul repas par jour ?
Comment comprenez-vous le terme « param padam » dans le Śrīmad Bhāgavata 10.2.32 (ye’nye’ravindākṣa vimukta-māninas…), dans la mesure où param padam désigne la demeure suprême, alors que ce verset évoque une chute depuis cette position élevée ?
Pourquoi ne puis-je pas être un dévot de Kṛṣṇa sans adhérer aux coutumes védiques ou, plus largement, indiennes ?
Qu'est-ce qu’un anartha dans le processus de la bhakti ?
Dans le Paramātmā-sandarbha (anuccheda 93), Śrī Jīva Gosvāmī déclare que la graine de la bhakti est impérissable, ce qui semble contredire ce que Kṛṣṇadāsa Kavirāja Gosvāmī écrit dans le Caitanya-caritāmṛta, où il décrit comment la bhakti peut être totalement déracinée par l’āparādha.