L’article suivant constitue une autre partie de l’introduction de notre prochaine traduction en anglais du premier chant du Śrīmad Bhāgavata.
L’une des questions qui me sont le plus souvent posées concerne les manjarīs du Kṛṣṇa-līlā. Il semble y avoir un débat en cours parmi les dévots : un groupe affirme que les manjarīs ne sont pas en compagnie physique de Kṛṣṇa, tandis qu’un autre groupe soutient le contraire.
Nous ne pouvons pas contrôler tant de choses qui entraînent la destruction d’autres formes de vie du simple fait d’être vivant. Par exemple, notre propre corps est un champ de bataille où s’affrontent anticorps, virus et bactéries. Une telle vie possède une conscience très réduite, mais il s’agit néanmoins de vie.
Selon la science moderne, le monde est constitué de matière, laquelle obéit à certaines lois naturelles. L’une des plus importantes est la relation de cause à effet : une cause doit exister avant que l’effet n’apparaisse.
À quoi sert le karma si une personne ne peut pas se souvenir de ce qu’elle a fait de mal dans une vie passée, mais que son karma fructifie dans cette vie ? La leçon risque de ne pas être retenue.
Je suis curieux de connaître les habitudes alimentaires prescrites par l’Ayurveda. Pourquoi tant de sādhus et de pratiquants avancés de bhajana ne prennent-ils qu’un seul repas par jour ?
Comment comprenez-vous le terme « param padam » dans le Śrīmad Bhāgavata 10.2.32 (ye’nye’ravindākṣa vimukta-māninas…), dans la mesure où param padam désigne la demeure suprême, alors que ce verset évoque une chute depuis cette position élevée ?