Pourquoi ne puis-je pas être un dévot de Kṛṣṇa sans adhérer aux coutumes védiques ou, plus largement, indiennes ?
Quels sont les acharyas que nous considérons comme autorités ultimes pour trancher les divergences d’opinions ?
Ces exemples sont donnés uniquement pour des raisons pédagogiques afin d’éduquer le lecteur sur les caractéristiques des troubles délirants. Nous ne suggérons pas aux lecteurs d’utiliser ces connaissances pour « étiqueter » les autres comme ayant de tels troubles. Seul un thérapeute agréé peut poser un diagnostic avec certitude.
J'enseigne depuis près de trente-cinq ans, bien que je n’aie pas de penchant pour cette activité. Ce que j'aime le plus, c'est étudier et non enseigner. Or, l'enseignement semble être mon karma. Dès que j'ai commencé à apprendre le sanskrit, j'ai également commencé à l'enseigner.
La première étape de la bhakti est d’écouter sur Krishna. Il existe diverses écritures qui décrivent des histoires sur Krishna, parmi lesquelles, le Srimad Bhagavata Puranam est le suprême.
Récemment, un dévot nous a approché et a affirmé que l'édition de Babaji du Tattva Sandarbha et celle de Gopiparanadhana Prabhu étaient presque identiques, ce qu'il a prouvé en envoyant une capture d'écran d'un anuccheda.
Nous allons maintenant discuter de l'ashraddha, l'incrédulité, qui est la deuxième des cinq conséquences principales de l'aparadha.