Pratiquant la vie spirituelle depuis des décennies, j’en suis venu à la stupéfiante réalisation que dans les sociétés spirituelles, il y a un nombre disproportionné de pratiquants qui ont des problèmes de santé mentale.
Dans les anucchedas 179 à 185 du Bhakti Sandarbha, Shri Jiva Gosvami établit que la bhakti ne descend dans le cœur d’un jiva qu’en étant en compagnie d’un dévot, c’est-à-dire dans le cas de sadhu-sanga, ou de satsanga.
La fonction naturelle (svabhavika vritti) des sens en relation avec la bhakti est de deux types. Le premier se produit lorsqu’une personne suit les instructions des écritures afin d’approcher un enseignant spirituel, recevoir ses instructions et pratiquer ainsi une pure dévotion.
Récemment, il a été porté à ma connaissance qu’un article intitulé « L’anti-parti de Vrndavana », qui critique mes opinions, avait été publié sur le site Internet HareKrsna.com.
Fondé sur l’explication de Shri Vishvanatha Chakravarti Thakura des déclarations de Shri Kapila dans le 25ème chapitre du troisième chant du Srimad Bhagavata, l’article suivant décrit les deux divisions de la pure dévotion, connues sous le nom de vaidhi et raganuga.