Les advaita-vadis soulèvent une objection quant à la nécessité d'accepter le pouvoir d'illumination (dharma-bhuta jnana) comme une qualité que possède l'atma : « La conscience (jnana) ne peut pas être le refuge d'une autre conscience (jnana).
Le sixième verset spécifie que la cause de l'union de l'ātmā avec la prakṛti se trouve dans sa propre inclination et son attachement pour elle (parābhidhyānena).
Le présent article traite de la nature de l'être vivant individuel, appelé « jīva ». Il est fondé sur un commentaire des versets trois à sept du vingt-sixième chapitre du troisième chant du Śrīmad Bhāgavata, rédigé par Śrī Vīrarāghava Ācārya de la Śrī-sampradāya.
Dans le cadre d'un cours suivi à l'Université hindoue, j'ai également abordé très brièvement le sankhya. J'ai trouvé vos notes sur ce sujet très claires, mais j'aurais quelques questions à vous poser.
Dans le Bhagavat Sandarbha, Shrila Jiva Gosvami analyse de manière merveilleuse la confrontation entre les quatre Kumaras et les gardiens du Vaikuntha. L'épisode se situe dans le quinzième chapitre du Troisième chant du Srimad Bhagavata. Un jour, les quatre Kumaras allèrent au Vaikuntha et, dans leur empressement à voir le Seigneur Vishnu, ils traversèrent avec succès les six premières portes mais furent arrêtés à la septième.
La naissance de Shisupala Dans le septième chant du Shrimad Bhagavata, il y a un dialogue très intéressant récité par Shri Shukadeva Gosvami sur... Read More
Fondé sur l’explication de Shri Vishvanatha Chakravarti Thakura des déclarations de Shri Kapila dans le 25ème chapitre du troisième chant du Srimad Bhagavata, l’article suivant décrit les deux divisions de la pure dévotion, connues sous le nom de vaidhi et raganuga.