Récemment j’ai reçu un courriel d'un de mes étudiants. Il a écrit : « Je suis assis ici dans un parc, regardant le ciel bleu, et les pensées suivantes me traversent l'esprit : “Pourquoi est-ce que je travaille ? Je me sens étouffé, vivant la même routine tous les jours" ».
Le mot « pratishtha » signifie « réputation », « gloire », « renommée », « célébrité », « position élevée », etc. Nous en avons tous le goût. Nous travaillons pour elle et nous nous sentons heureux en l’obtenant.
De même, l'éléphant Gajendra – alors qu’il était occupé par des activités sensuelles – est un exemple d'un dévot qui s'est absorbé dans des objets qui ont entravé sa dévotion à cause d'une offense.
Nous allons maintenant examiner la troisième conséquence de l’aparadha, à savoir l'absorption dans d'autres objets qui érodent la confiance en Bhagavan (bhagavan-niṣṭhā-cyāvaka-vastv-antarābhiniveśaḥ).
Nous allons maintenant discuter de l'ashraddha, l'incrédulité, qui est la deuxième des cinq conséquences principales de l'aparadha.
[L'explication du kautilya, ou de la malhonnêteté, est poursuivie ici]. Par ailleurs, les dévots de Bhagavan bénissent également ceux qui sont simples mais ignorants, mais non pas ceux qui sont malhonnêtes et érudits, comme cela a été dit par Shri Camasa au roi Nimi.
Après avoir montré le pouvoir purificateur que possède même un semblant de bhakti, Shri Jiva Gosvami va encore plus loin en disant qu'un semblant de bhakti, dont la nature même est offensante, a le pouvoir de libérer une personne de ses péchés. C'est certainement fort étonnant.