Nous ne pouvons pas contrôler tant de choses qui entraînent la destruction d’autres formes de vie du simple fait d’être vivant. Par exemple, notre propre corps est un champ de bataille où s’affrontent anticorps, virus et bactéries. Une telle vie possède une conscience très réduite, mais il s’agit néanmoins de vie.
Selon la science moderne, le monde est constitué de matière, laquelle obéit à certaines lois naturelles. L’une des plus importantes est la relation de cause à effet : une cause doit exister avant que l’effet n’apparaisse.
À quoi sert le karma si une personne ne peut pas se souvenir de ce qu’elle a fait de mal dans une vie passée, mais que son karma fructifie dans cette vie ? La leçon risque de ne pas être retenue.
Je suis curieux de connaître les habitudes alimentaires prescrites par l’Ayurveda. Pourquoi tant de sādhus et de pratiquants avancés de bhajana ne prennent-ils qu’un seul repas par jour ?
Comment comprenez-vous le terme « param padam » dans le Śrīmad Bhāgavata 10.2.32 (ye’nye’ravindākṣa vimukta-māninas…), dans la mesure où param padam désigne la demeure suprême, alors que ce verset évoque une chute depuis cette position élevée ?
Pourquoi ne puis-je pas être un dévot de Kṛṣṇa sans adhérer aux coutumes védiques ou, plus largement, indiennes ?
Qu’est-ce qu’un anartha dans le processus de la bhakti ?